Perte de jouissance et de qualité de vie
Personne ne souhaite avoir des blessures graves ou des limitations fonctionnelles suite à un accident de la route. Toutefois, une fois que le mal est fait, la SAAQ a le devoir de vous indemniser correctement pour vos blessures. Pour ce faire, vous devrez vous soumettre, aux frais de la SAAQ, à un processus d’expertise médicale qui parfois, mène à une bonne évaluation comme à une sous-évaluation de vos séquelles.
Il est très important de bien départager les blessures physiques des blessures psychiques. Une hernie discale incapacitante peut vous mener à une dépression. Un traumatisme crânien (TCC) vous laissant avec de graves atteintes cognitives n’a pourtant rien à voir avec un trouble de l’adaptation ou un trouble anxieux. Chaque diagnostic doit être reconnu par les bons spécialistes.
Trop souvent, le processus d’expertise de la SAAQ passera sous silence différentes conditions médicales des accidentés nuisant ainsi grandement à leur droit à une complète et sérieuse compensation. Comment pouvez-vous savoir ce que vous avez comme blessures quand l’expert de la SAAQ évalue uniquement certaines d’entre-elles ? Que vaut alors votre capacité à l’emploi si vous ignorez l’ampleur de vos séquelles ?Vous devez savoir que vous pouvez contester l’évaluation de vos blessures en soumettant une contre-preuve médicale. Advenant votre victoire dans le processus de révision ou au Tribunal administratif du Québec, la Loi vous remboursera une bonne partie du coût de votre expertise. Dans le doute…contestez.
C’est notamment à ce niveau que nous pouvons vous aider à faire valoir vos droits.
Un dossier bien évalué grâce à un processus de contre-expertise rigoureux, vous donnera une tranquilité d’esprit pour le restant de votre vie.