Comme dans les dossiers d’accidents de la route, il est primordial dans le cadre d’un accident de travail ou d’une lésion professionnelle de bien départager les blessures physiques des blessures psychiques.
Une hernie discale incapacitante peut vous mener à une dépression.
Un traumatisme crânien (TCC) vous laissant avec de graves atteintes cognitives n’a pourtant rien à voir avec un trouble de l’adaptation ou un trouble anxieux !
Chaque diagnostic doit être effectué par le bon spécialiste.
Comment pouvez-vous savoir ce que vous avez comme blessures quand l’expert de la CNESST évalue uniquement certaines d’entre-elles ?
Comment évaluer votre capacité à l’emploi si vous ignorez l’ampleur de vos séquelles ?
Personne ne souhaite avoir des blessures graves ou des séquelles suite à un accident de travail. Toutefois, quand le mal est fait, la CNESST a le devoir de vous indemniser correctement pour vos blessures.
Pour ce faire, vous devrez vous soumettre, parfois à la demande de la CNESST, à un processus d’expertise médicale qui, dans certains cas, aboutit à une sous-évaluation de votre état, ce qui veut dire que la CNESST ne vous indemnisera pas en fonction de la réelle gravité de vos blessures et séquelles.
Vous devez savoir que vous pouvez contester l’évaluation de vos blessures en soumettant une contre-preuve médicale.
Advenant votre victoire dans le processus de révision ou à au TAT, le portrait global de votre indemnisation pourrait être complètement différent et à votre avantage. Dans le doute… contestez.
C’est notamment à ce niveau que nous pouvons vous aider à faire valoir vos droits. Un dossier bien évalué grâce à un processus de contre-expertise rigoureux vous donnera une tranquillité d’esprit pour le restant de votre vie.